Mon Dieu que mes choses ne s'améliorent pas... ou
Mon Dieu que mes choses ne s'améliorent pas... ou peut-être que si, mais d'autres choses le gâchent.
En autre, aujourd'hui celle, la belle, celle aux jeux, je l'ai perdu. Et du comble, elle est parti dans les bras d'un autre, d'un plus grand, d'un plus beau et d'un plus vieux. Oui d'un plus vieux. Si, je la protègerai de quiconque, bien sur. Mais la perdre ainsi, la laisser filer, entre mes doigts, lentement comme je l'ai fait, c'est une torture. Une vilaine aglutination d'hémoglobine que je gratte, qui se réagglutine, que je regratte, et qui finit par ne plus agglutiner et laisse s'échapper cet affection pour elle. Elle est la seule à qui je n'ai jamais pu avouer quoique ce soit, je peux lui parler de tout, au grand tout, mais ça, incompréhensiblement pas.
Je continuerai le post une autre fois, je fatigue. De désespoir, d'ennui, de tristesse?