Fuck it

La conscience est ce qui fait mal quand tout le reste va si bien (Hir Fürher Pouky)

Comme c'est vrai, comment puis-je encore avoir la force de l'aimer, alors que tout, mais tout devrait me faire la détester; le fait qu'elle soit l'ex-petite ami de mon MEILLEUR ami; le fait qu'elle embrasse, suce, baise a peu près tout ce qui bouge et qui la dépasse de 4 pouces (moi aussi mais bon là lààà); le fait qu'elle est si froide avec moi et qu'elle fait tout pour éviter mon regard.

Et encore. J'aime.

Mais pas d'amour, de haine. Je la veux, je veux la possèdé, l'étreindre de ma masculinité, la soulevé, l'entendre râler.

Et encore. J'aime.

Et c'est vrai que tout le reste va bien. Vraiment bien. J'ai l'autre qui me fait les yeux doux, quoique que je puisse y toucher (Pourquoi, mais au grand pourquoi faut-il qu'il tombe sur les bonnes avant moi?). Puis encore l'autre à qui je joue des jeux (Elle j'ai si peur de la perdre, qu'elle me file entre les doigts. Aux mains d'un autre ou à celles de son esprit torturé. Boordel) Et finalement l'autre (Ca reste vague hein : l'autre), qui a finalement compris que je la trouvais laide/inintéressante/conne, mais que je pourrais ravoir en claquand des doights (Mais elle reste toujours fidèle à la description que j'en i fait..)

Fuck it. Ahhhh pis là, LA toune du parrain qui joue sur le stereo de grand-maman...